Agence reconnue par les grands comptes, SQLI est appréciée par ses développeurs pour son management allégé et son organisation du travail flexible. Sans parler de sa culture de la fête…
Bon à savoir sur SQLI

Les plateformes de commerce digital, c’est la grande spécialité de SQLI. Mais l’agence travaille aussi plus largement sur des chantiers de transformation numérique pour de grands comptes comme Société Générale, L’Oréal Paris, SEB, Essilor ou ArcelorMittal. Cette Digital Experience Agency qui fait chaque année une croissance à deux chiffres tient malgré tout à préserver son côté « work, fun and rock and roll ». Les événements qu’elle organise régulièrement avec ses salariés et ses clients sont un mélange des trois.
Recrutement : 800 personnes par an
#LifeAtSQLI 1 journée dans les 32 agences du groupe https://t.co/NJ7DU2IulF @SQLI_EN @SQLI_CH @SQLI_BENELUX @wax_int @Wax_BE @Wax_CH @Osudio @Star_Republic
— SQLI (@SQLI_FR) July 9, 2018
Digital Experience Agency de taille moyenne avec 2 400 collaborateurs dont un peu plus de la moitié basée en France, SQLI réalise pas moins de 800 recrutements pas an. Une grande part des postes ouverts dans les 32 agences réparties dans 13 pays sont consacrés à des profils de développeurs confirmés.
Management : le moins de hiérarchie possible
Chez SQLI, les salariés « reconnaissent davantage la compétence que le galon », résume la DRH, Sylvie Verstraeten. L’entreprise encourage un management le moins hiérarchique possible en se basant sur la responsabilisation, l’autonomie et la confiance placée dans le collaborateur. Les développeurs ont donc toute latitude pour faire de la veille, contribuer aux communautés techniques soit au niveau de leur agence soit sur des thématiques transverses. « Chaque leader technique s’organise avec son équipe. » SQLI programme aussi des battle dev et des hackathons. De nombreux moments festifs sont organisés par les managers d’équipes.

Télétravail : place au « flexible work »
La société de services teste actuellement le « flexible work » qui entend aller plus loin que le télétravail. Elle prévoit deux systèmes de travail à distance au choix. Le collaborateur travaille où il veut, chez lui, au café, en coworking, un jour fixe par semaine en accord avec son manager. Dans l’autre possibilité, il dispose d’un pool de six jours par trimestre qu’il gère comme il le souhaite. Le collaborateur doit juste prévenir son manager 48 heures à l’avance.
Environnement de travail : open space généralisé
SQLI a regroupé il y a plus d’un an ses quatre sites parisiens à Levallois Perret (92). Si l’open space a été généralisé y compris pour la direction générale, les bureaux restent toutefois attitrés et l’espace est réparti en zones identifiées par « practice » comme la data ou le développement mobile. L’espace « convivialité » occupe une aile complète d’un des trois étages du siège. Bornes d’arcade, PlayStation et babyfoot… Un espace « detox » comprenant une bibliothèque permet néanmoins de se déconnecter.

Poste de travail : Mac ou PC au choix
En ce qui concerne le poste de travail, le « dev » a le choix entre un PC ou Mac. Pour le PC, il est sous Linux ou Windows, avec 16 Go de Ram, un processeur Intel Core i7 et un double écran.
Formation : e-learning à volonté
Parce que se former tout au long de la vie fait partie des compétences des dev, SQLI propose une formule originale d’auto-formation. Une fois la licence accordée, un salarié a accès à l’ensemble du catalogue en e-learning pour se former aussi bien à Java qu’à Angular.
Evolution de carrière : expertise ou management
Parce que tout le monde n’a pas forcément envie de devenir manager, SQLI a prévu deux voies pour promouvoir ses développeurs : la voie de l’expertise – pour devenir leader technique ou architecte – ou du management en devenant chef de projet puis directeur de projet. Et comme SQLI est une entreprise internationale implantée dans 13 pays, le groupe offre aussi des opportunités de mobilité en dehors de nos frontières. « Les postes sont ouverts et visibles à tous. Un développeur qui voit passer une offre en Suède peut postuler », conclut Sylvie Verstraeten.