LDLC a annoncé ce jeudi la création d’un studio de jeux en réalité virtuelle. Le groupe lyonnais va pouvoir accompagner les exploitants de salle pour qu’ils s’équipent en matière de réalité virtuelle. Un premier jeu en VR garantissant une totale immersion est déjà disponible et peut être testé dans une salle à Bourgoin-Jallieu.
LDLC se lance dans la réalité virtuelle. Le groupe français de commerce en ligne a annoncé jeudi 16 janvier la création d’un studio de jeux en réalité virtuelle (VR) qui sera basé à Limonest (Rhône), près de Lyon, où l’entreprise est née. Pour l’occasion, la marque LDLC VR Studio a été déposée par le groupe spécialisé dans l’informatique et la high-tech, rapporte Clubic.
Accompagner des exploitants
L’ambition est de « donner vie à des espaces de jeu entièrement personnalisés, équipés des dernières technologies et optimisés dans les moindres recoins », explique le groupe. Concrètement, LDLC a l’intention de fournir aux exploitants de salle de jeux un accompagnement complet pour proposer une expérience VR à leurs clients.
Ainsi, l’exploitant pourra compter sur une aide stratégique et des conseils sur les choix de logiciels et matériel de la part de LDLC VR Studio. Un premier titre a déjà été produit grâce à l’accompagnement de la marque. Baptisé « Catch the Dragon », il fait s’opposer deux équipes de deux ou trois joueurs et est réservé aux personnes âgées de plus de 12 ans.
Une expérience immersive
Déjà disponible dans la salle MultiWorld de Bourgoin-Jallieu, en Isère, le jeu invite à essayer de puiser dans la force d’un dragon sans se faire prendre par l’ennemi. On peut, au choix, incarner un Mage ou un Archer. L’équipement permet aux joueurs de se déplacer librement dans l’espace, ce qui renforce l’aspect immersif de l’expérience et l’intégration dans l’univers du jeu.
LDLC croit beaucoup au potentiel commercial de la VR. « Les jeux qui vont naître de notre studio de création offriront une expérience à la croisée des mondes du jeu vidéo classique et de l’attraction », assure le groupe dans un communiqué. « Demain, les gens sortiront pour vivre des expériences immersives de réalité virtuelle, de la même manière qu’aujourd’hui on sort pour aller au cinéma. »
